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 Every Possible Mistakes ft Shak

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2 participants
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Naya R. Pears
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Naya R. Pears


○ Parchemins : 59
○ Crédit : Sway

MAGIC ❀ BOX
❀ Particularité: Sorcière - Gemmes & Pierres Précieuses.
❀ Âge: 18 ans.
❀ Relation:

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MessageSujet: Every Possible Mistakes ft Shak    Every Possible Mistakes ft Shak  EmptyLun 3 Jan - 20:15




Every Possible Mistakes ft Shak  Shaknaya
MAKING EVERY POSSIBLE MISTAKES
FT SHAKESPEARE & NAYA




    Tic tac…Tic tac…Je pousse un soupir et adresse un regard meurtrier à l’énorme horloge située juste au dessus de moi. Ce genre de bruit répétitif m’a toujours tapé sur le système, je ne les supporte pas ! Tout comme une goûte d’eau qui s’écoulerait inlassablement d’un évier et c’est toujours dans le silence que ces bruits se font entendre comme si vicieusement, ils attendaient que l’on se taise pour venir perturbé enfin le silence tant attendu. Je chasse nonchalamment une mèche de mes longs cheveux blonds et laisse mon dos se reposé confortablement sur le dossier de ma chaise. Si je suis venue à la bibliothèque après le repas du soir, c’est pour finir mes devoirs et pas pour tenter d'évaluer le degré de patience dont je suis capable de faire preuve. Je pourrais m’en aller, ou utilisé la magie pour supprimé ce son agaçant mais je me contente de rester la à subir en silence. On pourrait s’imaginer que j’aime me torturer mais ce n’est pas le cas. Si je reste, c’est parce que j’ai une bonne raison. Mon regard glisse contre la nuque de Shakespeare Stolkin. Je ne pense pas qu’il aie remarqué ma présence parce que nous sommes nombreux ici et que de la ou il est assis, il ne peut pas me voir alors que moi je joui d’une vue prenante sur sa personne. Je penche la tête sur le côté et le toise en silence. Distraitement, je me mordille l’ongle du petit doigt.

    Je ne sais même plus pourquoi j’ai voulu trouver la pierre de Shakespeare mais cela n’a plus d’importance parce que de toute façon, je trouve toujours les raisons les plus insignifiantes pour établir ce genre de recherche. J’ai besoin de savoir quel pierre à appartient à presque chaque personne qui croise mon chemin, comme si cela pouvait m’aider à mieux les cerner. Pour Shak ce ne fut pas si compliqué. Oh j’ai longuement hésité avec les calcédoine mas il est évident que sa pierre est l’améthyste, la même que celle de mon père. Dès l’instant ou je m’en suis rendue compte, il m’est apparu primordial de comprendre qui est ce Shakespeare Stolkin et de voir si certains de ses comportements pourraient m’aider à comprendre pourquoi mon père à finit par totalement se désintéressé de moi alors que longtemps j’avais été sa princesse. Je serre le poing mais relâche rapidement la pression. Je n’ai toujours pas digéré le fait qu’il aie une nouvelle famille et pire une autre fille. Il a bien tenté de reprendre contact avec moi mais je m’obstine à refuser. Je ne me laisse pas conquérir facilement moi ! Et c’est pourquoi le rubis est ma pierre.

    Ma main glisse distraitement dans mon sac à main noire dernière tendance et j’en sors une petite pochette remplies de gemmes de toutes les couleurs. Je la pose sur mes genoux et fouille du bout des doigts à la recherche de la gemme mauve, couleur caractéristique de l’améthyste et à ne pas confondre avec le rose pâle de certain quartz. Je trouve enfin ce que je cherche et laisse glisser la gemme dans la paume de ma main avant de ranger le reste des pierres. Peu de gens acceptent leur pierre car elle n’offre pas toujours ce que l’on veut mais souvent ce dont on à besoin et dans le cas de Shak c’est plutôt dans ce domaine que l’on va. L’améthyste à pour première force ces vertus calmantes qui apaisent les nerveux et les coléreux, quelque chose me fait dire que Shak en à besoin. Il n’y a qu’à voir la façon dont il m’est tombé dessus lorsqu’il a compris que c’était moi qui parsemait des « cailloux » dans ses poches. Il aurait presque pu m’impressionnée mais j’en ai déjà assez baver que pour garder la tête haute presque en toute circonstances.

    Je fixe ses épaules et cale ma respiration sur la sienne sans même y réfléchir. C’est ma façon à moi de me concentrée. Je serre sa pierre entre mes doigts, il faut que je sache pourquoi il à la même pierre que mon père mais avant tout laissez moi revenir à ses vertus. L’améthyste est une pierre qui renforce l’amour et tant à pousser vers l’harmonie dans le couple…On voit ce que ça à donné pour mon père ! Ou alors comme le dit ma mère, je me contente de mon propre point de vue car mon père à réussi à s’épanouir seulement ce n’est pas avec nous qu’il y est parvenu. J’ai aperçu la façon dont Shak traite Lyn et bien que ce ne soit pas le principal de mes soucis cela me confirme encore que cette pierre lui est destinée. Pour le reste elle apaise le sommeil et clarifie les rêves. Elle apporte du discernement, purifie les vaisseaux sanguins, rééquilibre les facultés et aide en cas de dépendance. La dépendance est d’ailleurs un domaine bien plus vaste de ce qui tombe sous l’évidence. Brusquement, je suis interrompue dans mes pensées lorsque je vois Shak se lever pour quitter sa place. J’enfourne mes affaires dans mon sac, il est temps d’agir.

    Mes doigts effleurent le rubis autour de mon coup, c’est presque devenu un tic pour me porter chance. Je pose mon sac sur mon épaule et me lance à la suite du brun ténébreux. J’ai bien l’intention de la jouer fine et j’attends qu’il quitte la bibliothèque pour en faire de même. Je vois sa silhouette s’éloigner sur la gauche et je pars dans la direction opposée. Je sais quel chemin je dois suivre pour tomber pile sur lui. J’accélère le pas et arrive finalement face à une porte au bout d’un couloir. Si mes calcule, son bon il empruntera cette porte dans une…deux…trois…La porte s’entrouvre. Mon intuition à toujours été ma plus grande et plus fiable amie. J’accélère le pas et entreprends de passer la porte pile en même temps que Shak. Je me la joue pressée et murmure un vague…

    Naya- Désolée.

    Le passage est étroit et je prends soin d’écraser ma poitrine contre son torse tout en glissant dans sa poche la gemme mauve. Je secoue l’épaule, laisse le temps à mon parfum de faire son chemin jusqu'aux narines de Shak, je prie pour que l’odeur sucrée de ma peau détourne son attention de mes réelles intentions. Je me décolle enfin de lui et disparaît de l’autre coté de la porte. J’inspire profondément et comme une gamine de trois ans, je croise les doigts. Un frisson me parcoure le dos…A-t-il remarqué mon petit jeu ? Dois je m’attendre à sentir sa main sur mon bras ou à entendre sa voix crié mon nom au bout du couloir? Le frisson remonte jusque dans ma nuque, pour le moment tout est silencieux.





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Shakespeare L. Stolkin
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Your pain is mine.

Shakespeare L. Stolkin


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○ Crédit : Hexatic ; psychozee
○ Statut : En couple avec Lyn, mais ouvert à toutes propositions
○ DC : Evan D. Peete

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❀ Particularité: Sorcier & don de phéromone
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MessageSujet: Re: Every Possible Mistakes ft Shak    Every Possible Mistakes ft Shak  EmptyMer 12 Jan - 17:07


Every Possible Mistakes ft Shak  Sans_t50
NAYA & SHAKESPEARE

Every possible mistakes


Shakespeare sortait de son cours sur les sortilèges, dépité. Il se retrouvait avec un exposé à faire pour dans même pas une semaine sur un sortilège stupide dont il ne comprenait pas l'intérêt. Agacé, il s'était brouillé avec le professeur qui avait alors largement exprimé que Shak avait intérêt à faire quelque chose de nickel, car il le noterait sévèrement. Il claqua violemment la porte du cours derrière lui, bien qu'il restait encore la moitié de la classe à sortir. C'était le dernier cours de la journée et la soirée allait être longue, il le savait déjà. Il chercha Lyn un long moment, ayant besoin de se défouler. Mais il fallait croire qu'elle sentait lorsqu'il allait lui faire du mal, car c'était toujours lorsqu'il avait le plus besoin d'elle, qu'elle était introuvable. Ce qui eu le don de l'énerver encore plus qu'il ne l'était déjà. Il se dirigea alors vers son dortoir, bousculant volontairement les gens qu'il croisait de trop prêt. Il fallait bien que quelqu'un paye non ? En tout cas, c'était ainsi que lui voyait les choses. Le regard sombre, fixant droit devant lui, il attendait la moindre occasion pour se lâcher. Quelqu'un qui lui foncerait dedans, qui lui parlerait mal ou qui crierait trop fort dans les couloirs... N'importe quoi serait bon pour lui donner une excuse de s'en prendre à quelqu'un. En fait, après réflexion, il n'avait même pas besoin d'excuse. Les gens étaient habitués à ses dérapages inexpliqués à force. Mais voilà, ce soir il avait envie qu'il y est une raison particulière. Allez savoir pourquoi... C'était comme ça un point c'est tout. Et lorsque Shakespeare avait quelque chose en tête impossible de lui faire changer d'avis. Aucune occasion ne s'étant présentée à lui, c'est sans incident qu'il pénétra dans sa chambre. Il jeta ses affaires sur son lit et fit de même, à bout de nerfs. Il n'aurait pas su dire combien de temps il était resté ainsi, allongé à fixé le plafond. Mais ça lui avait fait du bien, il se sentait plus serein. C'est seulement lorsqu'il entendit un certain remue ménage qu'il se bougea. Les gens se dirigeaient vers la grande salle, le repas allait être servit. Affamé, il y alla. Mais il ressentait l'étrange envie d'être seul. Il ne se mêla donc pas à la foule, se contentant de piocher deux trois trucs par-ci par-là, puis se retira. Et personne ne le retint. Il se dirigea ensuite vers la bibliothèque ou il comptait bien passer sa soirée, histoire d'avancer au plus vite son exposé.

Il s'installa à une table et partie en quête de livres sur le sortilège. Quand il eu réunit tout ce dont il avait besoin, il s'assit et commença ses recherches, grignotant ce qu'il avait prit. La nourriture était certes interdite, mais il s'en contrefichait. De toute façon, de là où il était la bibliothécaire ne pouvait pas le voir et à cette heure-ci, elle ne faisait pas 150 mille tours dans les allées pour vérifier que tout se passe bien. La salle était à moitié vide et un calme apaisant y régnait. Plongé dans ses recherches, il ne vit pas le temps passer. Il ne vit rien du tout d'ailleurs. Ni les gens qui sortaient, ni ceux qui rentraient. Pourtant, d'ordinaire il surveillait toujours. Il jeta un coup d'œil à sa montre et en voyant l'heure, il grimaça. Comment pourrir une de ses soirées ! Il soupira et referma les livres. Il se leva pour les ranger et revint à sa table ou il récupéra ses affaires, puis s'éloigna, ne prenant même pas la peine de nettoyer la table des miettes qu'il avait mit dessus. A quoi bon, quelqu'un était payé pour ça, non ? L'air dédaigneux, il quitta la pièce sans même saluer la bibliothécaire, qui à force, avait l'habitude et n'insistait plus. Se lançant dans les immenses couloirs, il marchait d'un pas vif et actif, impatient de regagner sa chambre. Il avait besoin de dormir, sa tête allait exploser sinon. Et à force d'écrire, sa main droite était toute endolorie. C'était une sensation qu'il détestait au plus haut point ! Mais il ne savait pas encore que sa soirée était bien loin d'être terminée...

Il arriva face à une porte, qui menait vers les couloirs des dortoirs. Il l'ouvrit tranquillement, d'un geste déterminé. Mais alors qu'il allait passer, une fine silhouette se glissa en même temps que lui dans l'ouverture. Il s'arrêta, interloqué. Il ne lui fallut à peine une seconde pour reconnaître la demoiselle en question. Naya. Elle lui murmura un bref désolé, alors que leur corps se mouvaient, collé l'un à l'autre. Il posa ses prunelles sombres dans les siennes, méfiant et intrigué. Sensible au moindre charme, le parfum de la jeune femme ne lui échappa pas. Il inspira doucement, emplissant tout son corps de son odeur. A quoi jouait-elle avec ses yeux de biches ? Quelque peu surpris, il l'a regarda s'éloigner. La dernière fois qu'ils s'étaient vu, leur altercation avait été assez violente, il ne comprenait donc pas ce changement soudain de comportement. Aussitôt, Shakespeare tâta ses poches, soupçonnant qu'elle ait encore recommencée... Et bingo ! Là dans sa poche, une bosse attira son attention. Il plongea sa main dedans et en retira une gemme mauve. Aussitôt, il sent la colère s'emparer de lui. N'avait-il pas été assez clair la dernière fois ?! Cette fille n'était vraiment pas nette. Elle s'entêtait à lui glisser dans ses vêtements des pierres mauves. Pourquoi ? En tout cas, ça avait le don de le pousser à bout et de lui faire perdre patience. Au départ, il n'avait pas cherché à comprendre. Ça l'insupportait et il avait d'abord cru à une mauvaise blague. Mais c'était toujours la même pierre qu'il retrouvait et cette obstination avait finit par réveiller sa curiosité. Il se lança alors à sa poursuite. Arrivé à sa hauteur, il lui empoigna brutalement le bras et l'obligea à reculer contre le mur. Tenant la pierre dans sa main libre, il la planta devant le regard de Naya. « C'est quoi ça ? » Il la secoua quelque peu, agacé. Son petit jeu ne l'amusait pas, elle avait intérêt à avoir d'excellentes explications. Puis doucement, il se pencha vers son oreille, frôlant sa nuque dans un souffle chaud. Il murmura alors : « Je déteste qu'on se joue de moi... Tu devrais être plus méfiante. » Il resserra son étreinte sur son bras, jusqu'à lui faire mal. Un sourire cynique se dessina sur ses lèvres, éclairant dangereusement son visage si froid.


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